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SST dans les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut

Rédigé par Conseillers d’affaires | Jul 14, 2025 4:00:00 PM

Dans les Territoires du Nord-Ouest (T.N.-O.) et le Nunavut (NU) la Commission de la sécurité au travail et de l’indemnisation des travailleurs (CSTIT) est responsable des questions de santé et de sécurité au travail (SST). La CSTIT veille à l’application de la Loi sur la sécurité et du Règlement sur la santé et la sécurité au travail. 

On entend par travailleur toute personne occupant un emploi (à temps plein, à temps partiel, temporaire ou saisonnier) pour une durée prévue d’au moins trois mois.  

Obligations de l’employeur en matière de SST 

En tant que propriétaire d’entreprise, pour gérer efficacement la sécurité et la santé dans votre lieu de travail, vous devez d’abord connaître vos obligations légales en matière de SST.

  • Assurer la sécurité et la santé de toutes les personnes dans votre lieu de travail ou à proximité.
  • Fournir et entretenir un équipement, des machines et du matériel dotés de dispositifs de sécurité adéquats.
  • Fournir aux travailleurs les renseignements, les instructions, la formation, la surveillance et les moyens d’assurer leur sécurité.
  • Veiller à ce que tous les travailleurs soient au courant des risques de santé et sécurité dans votre lieu de travail.
  • Veiller à ce que tous les travailleurs sachent quand et comment utiliser correctement tous les dispositifs, équipements et vêtements nécessaires à leur protection.
  • Mettre un exemplaire de la Loi sur la sécurité à la disposition des travailleurs.
  • Établir un comité de SST si votre lieu de travail compte 20 travailleurs ou plus.
  • Désigner au moins un représentant en matière de santé et sécurité au travail à chaque lieu de travail comptant moins de 20 travailleurs.
  • Exploiter votre entreprise de façon à ce que les travailleurs ne soient pas exposés aux risques de santé et sécurité.
  • Collaborer avec toute personne exerçant une fonction ou un pouvoir que lui assignent les dispositions ou le règlement sur la SST.
  • Sensibiliser vos travailleurs à leurs 4 droits fondamentaux :
    • Le droit d’être informé de tout danger dans le lieu de travail
    • Le droit de participer à la détermination et à la résolution des problèmes
    • Le droit de refuser d’exécuter un travail dangereux
    • Le droit d’accomplir des tâches ou d’exercer des droits en matière de sécurité et santé sans faire l’objet d’une mesure discriminatoire

Politique de SST
Programme de SST
Comités et Représentants
Affiches, signalisation et documents imprimés
Violence et harcèlement
Travail avec les facultés affaiblies
Orientation et formation
Jeunes travailleurs
Travail seul ou en isolement
Accessibilité
Premiers soins
Urgences, dangers et maladies transmissibles
SGH et SIMDUT
Retour au travail

POLITIQUE DE SST

Dans les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut, une politique de SST est exigée dans la cadre du programme de SST sur les lieux de travail comptant au moins 20 travailleurs. 

Cette politique doit être : 

  • élaborée en consultation avec le comité de SST, ou le représentant en matière de SST, et les travailleurs;
  • rédigée et signée par la haute direction ou le propriétaire de l’entreprise;
  • affichée bien en vue sur le lieu de travail. 

Vous devez revoir votre politique une fois par année et la mettre à jour au besoin, selon les changements apportés au lieu de travail ou à la législation.

Même si votre site compte moins de 20 travailleurs, il est recommandé de vous doter d’une politique de SST.

Les membres de la FCEI trouveront un modèle de politique en matière de santé et sécurité dans le Portail des membres.

PROGRAMME DE SST 

Tous les employeurs des Territoires du Nord-Ouest qui emploient au moins 20 personnes sur un même lieu de travail doivent mettre en place un programme de SST. 

Comme chaque lieu de travail est différent, chaque programme l’est aussi. Cependant, votre programme doit décrire la façon dont vous :

  • définissez les responsabilités en matière de sécurité;
  • détectez et contrôlez les dangers;
  • orientez et formez vos travailleurs;
  • enquêtez sur les incidents, les blessures et les refus de travailler dans des conditions dangereuses sur le lieu de travail;
  • assurez le suivi des problèmes et des activités de SST dans votre entreprise.

La CSTIT propose un guide pour aider les employeurs à élaborer leur programme de SST.

COMITÉS ET REPRÉSENTANTS 

Dans les Territoires du Nord-Ouest, les entreprises qui emploient régulièrement moins de 20 travailleurs doivent avoir un représentant en matière de santé et sécurité au travail.  On ne précise toutefois pas la durée d’emploi. Comptez toute personne qui devrait normalement rester à votre emploi.   

Chaque lieu de travail doit compter un représentant en matière de SST indépendant de la direction et dont le nom est affiché bien en vue des travailleurs. 

Les responsabilités du représentant sont les suivantes :

  • S’acquitter de toutes les fonctions que peut normalement exercer un comité de SST. 
  • Participer aux inspections de routine et aux enquêtes sur les incidents.
  • Faire des recommandations à l’employeur pour régler les problèmes de santé et sécurité.
  • Encourager les travailleurs à signaler les risques et préoccupations à leur superviseur. 

Vous devez établir un comité mixte de santé et sécurité (CMSS) si vous comptez 20 travailleurs réguliers ou plus. 

Le CMSS doit :

  • être composé d’une majorité de membres élus par les travailleurs et/ou le syndicat, le reste étant nommé par l’employeur; 
  • avoir deux coprésidents, l’un représentant la direction et l’autre les travailleurs; 
  • permettre aux membres de s’acquitter de leur rôle pendant leurs heures de travail, tout en étant rémunérés.

Le CMSS doit en outre :

  • tenir des réunions avec ordre du jour chaque mois pendant les trois premiers mois, puis chaque trimestre par la suite;
  • rédiger le procès-verbal de chaque réunion et l’afficher à un endroit bien en vue; 
  • participer aux inspections de routine et aux enquêtes sur les incidents;
  • faire des recommandations à l’employeur pour améliorer la santé et la sécurité; 
  • encourager les travailleurs à signaler les risques et préoccupations à leur superviseur en premier lieu. 

Tous les membres du CMSS doivent suivre une formation sur les sujets suivants :

  • La détection et le contrôle des risques propres au secteur, y compris les risques ergonomiques
  • La procédure d’inspection
  • La procédure d’enquête sur les incidents et les événements dangereux
  • La législation en matière de SST des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut
  • Le Système d’information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT1988 et SIMDUT2015).

Vous trouverez le code de pratique des comités mixtes de santé et de sécurité au travail des T.N.-O. et du Nunavut ici.

AFFICHES, SIGNALISATION ET DOCUMENTS IMPRIMÉS

Dans les Territoires du Nord-Ouest, les entreprises doivent afficher : 

  • la Loi sur la sécurité;
  • le Règlement sur la santé et la sécurité au travail;
  • une copie du procès-verbal de chaque réunion du CMSS;
  • le plan de sécurité incendie;
  • des panneaux indiquant l’entrée de chaque zone fumeurs désignée;
  • l’emplacement du poste de premiers soins et les procédures d’urgence appropriées.
VIOLENCE ET HARCÈLEMENT

Une politique écrite de prévention de la violence doit être mise en œuvre sur les lieux de travail où des actes de violence se sont produits ou pourraient se produire. L’employeur doit élaborer cette politique en collaboration avec le CMSS ou le représentant en matière de SST. 

La politique doit comprendre :

  • un engagement de l’employeur à éliminer ou à réduire le risque de violence sur le lieu de travail;
  • la liste des sites où des actes de violence se sont produits ou pourraient se produire;
  • la liste des postes qui ont été exposés à de la violence ou qui pourraient l’être;
  • la façon dont l’employeur informera les travailleurs de la nature des risques de violence;
  • la façon dont l’employeur éliminera ou réduira les risques de violence;
  • la procédure de signalement d’un acte de violence;
  • la procédure d’enquête en cas de signalement;
  • une recommandation invitant tout travailleur exposé à de la violence à consulter;
  • un engagement de l’employeur à offrir de la formation sur la manière de reconnaître la violence, les moyens de réduire, voire d’éliminer le risque de violence et la façon dont les travailleurs doivent réagir aux actes de violence.

La politique doit être mise à la disposition de tous les travailleurs. Elle doit être examinée au moins tous les trois ans et révisée si nécessaire. 

Les membres de la FCEI trouveront un modèle de politique de prévention de la violence dans le Portail des membres

Les employeurs doivent également mettre en œuvre une politique écrite de prévention du harcèlement. Le harcèlement est défini comme suit dans le Règlement sur la santé et la sécurité au travail :

« […] propos ou de conduites vexatoires sur le lieu de travail : a) d’une part, lorsque la personne sait ou devrait raisonnablement savoir que ces propos ou ces conduites sont importuns; b) d’autre part, lorsque ces propos ou ces conduites constituent, au lieu de travail, une menace à la santé ou à la sécurité d’un travailleur.

Pour qu’il y ait harcèlement […] l’un quelconque des éléments suivants doit s’être produit :

  1. une conduite, des propos, des démonstrations, des actes ou des gestes répétés;
  2. une seule occurrence grave d’une conduite ou un propos, une démonstration, un acte ou un geste isolé et grave ayant des conséquences durables et préjudiciables à la santé ou à la sécurité du travailleur. »

Voici des exemples de mesures raisonnables que peuvent prendre l’employeur ou le superviseur et qui ne constituent pas du harcèlement :

  • La modification de l’affectation des tâches
  • L’évaluation du rendement au travail et la planification de telles évaluations
  • L’inspection des lieux de travail
  • La mise en œuvre de mesures de SST
  • Les mesures disciplinaires telles que le licenciement, la suspension, la rétrogradation ou le blâme pour un motif valable

La politique, élaborée en collaboration avec le CMSS ou le représentant en matière de SST, doit comprendre les éléments suivants :

  • Une définition du harcèlement conforme à celle prévue par le Règlement
  • Une déclaration affirmant le droit des travailleurs à travailler dans un milieu exempt de harcèlement
  • Un engagement de l’employeur à faire un effort raisonnable pour protéger les travailleurs du harcèlement
  • Un engagement de l’employeur à prendre des mesures correctives en cas de harcèlement
  • Une procédure de plainte pour harcèlement
  • Une déclaration de l’employeur confirmant que les détails de la situation ainsi que le nom des personnes concernées seront gardés confidentiels, sauf dans les cas où il est nécessaire de les divulguer pour enquêter sur une plainte ou lorsque la loi l’exige
  • La procédure que suivra l’employeur pour informer le plaignant et le harceleur présumé des résultats de l’enquête
  • Une déclaration indiquant que la politique n’empêche pas un plaignant d’exercer ses droits

La politique doit être mise à la disposition de tous les travailleurs.

Les membres de la FCEI en trouveront un modèle dans le Portail des membres.

TRAVAIL AVEC LES FACULTÉS AFFAIBLIES

Un employeur doit disposer d’une politique sur le travail avec les facultés affaiblies qui comprend les éléments suivants :

  • Les responsabilités des travailleurs
  • Les responsabilités de l’employeur :
    • détecter les travailleurs aux facultés affaiblies;
    • protéger les travailleurs;
    • prendre des mesures disciplinaires lorsqu’un travailleur enfreint la politique.
  • Des informations sur les modalités d’application de la politique
  • Une méthodologie de détection et d’évaluation des risques
  • Les mesures préventives que doivent prendre l’employeur et les travailleurs
  • Un programme de sensibilisation pour les travailleurs
  • Un mécanisme d’évaluation de la politique

Les membres de la FCEI trouveront un modèle de politique sur la drogue, l’alcool et les médicaments dans le Portail des membres

ORIENTATION ET FORMATION 

Les employeurs ont le devoir d’assurer la santé et la sécurité de leurs travailleurs, notamment en les formant pour :

  • effectuer leurs tâches en toute sécurité;
  • utiliser les outils et la machinerie de façon sécuritaire;
  • utiliser et entretenir l’équipement de protection individuelle (ÉPI).

La formation varie selon le lieu de travail, le secteur d’activité et les tâches liées à chaque poste. Toutefois, trois sujets sont obligatoires :

  • les droits et responsabilités;
  • les dangers en milieu de travail;
  • les procédures de travail sécuritaire.

Les superviseurs doivent suivre le cours Familiarisation à la SST à l’intention des superviseurs auprès d’un fournisseur de formation agréé par la CSTIT. 

Les nouveaux travailleurs, ceux qui reviennent et ceux qui changent de lieu de travail doivent suivre une orientation couvrant les éléments suivants :

  • Les procédures d’urgence en cas d’incendie ou d’autre urgence
  • L’emplacement des alarmes incendie, du plan d’évacuation, des escaliers de secours et des points de rassemblement
  • L’emplacement du poste de premiers soins et de tout autre équipement connexe (p. ex. station de lavage des yeux)
  • Les zones d’accès restreint
  • Les précautions à prendre contre l’exposition à des substances dangereuses
  • Un rappel de leurs responsabilités en matière de SST, ainsi que de toutes les politiques et de tous les programmes de sécurité en vigueur sur le lieu de travail
JEUNES TRAVAILLEURS 

Un jeune travailleur est une personne de moins de 25 ans.   

La CSTIT offre le Programme pour jeunes travailleurs qui contient des outils, des guides et des ressources pour former les jeunes travailleurs. Ces derniers peuvent également suivre un cours en ligne qui permet d’acquérir une compréhension générale de leurs droits et responsabilités en matière de SST. 

TRAVAIL SEUL OU EN ISOLEMENT 

L’employeur doit déterminer les risques pour le travailleur qui travaille seul et établir une procédure de travail sécuritaire en consultation avec le travailleur. Il doit également mettre en place un système de communication, en utilisant un dispositif de communication fiable, pour surveiller la sécurité du travailleur. L’employeur doit déterminer à quelle fréquence le travailleur doit être surveillé en fonction des risques encourus.

Vous devez tenir compte des situations d’urgence lorsque vous déterminez les risques pour le travailleur et les mesures de contrôle à mettre en place. 

L’employeur doit fournir des informations, des instructions et une formation pour garantir, autant que possible, la sécurité, la santé et le bien-être du travailleur. La procédure de travail sécuritaire doit être revue une fois par année, ou plus fréquemment en cas de changement des conditions de travail ou d’inefficacité des procédures. 

Vous trouverez sur le site Web de la CSTIT le code de pratique Travail en isolement ainsi que la Procédure à suivre pour tout travail seul

ACCESSIBILITÉ

Les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut n’ont pas encore de loi sur l’accessibilité. Cependant, vous pouvez prendre certaines mesures pour rendre vos lieux de travail plus accessibles :

  • Examiner les locaux pour recenser les obstacles physiques (entrées, toilettes, allées).
  • Former le personnel sur l’accessibilité du service à la clientèle.
  • Élaborer un processus de demande de mesures d’adaptation pour les travailleurs et clients en situation de handicap.
PREMIERS SOINS 

Pour déterminer les besoins de votre entreprise en matière de premiers soins, vous devez effectuer une évaluation tenant compte des éléments suivants :

  • Nombre de travailleurs
  • Proximité des services médicaux d’urgence
  • Proximité d’une installation de soins de santé
  • Activités du lieu de travail

Cette évaluation déterminera la formation et l’équipement requis pour vos lieux de travail. Elle doit être revue chaque année, et une nouvelle évaluation doit être effectuée en cas de modification des lieux de travail. 

L’employeur doit :  

  • afficher, à un endroit approprié, l’emplacement du poste des premiers soins et la façon de demander de l’aide; 
  • prévoir un plan indiquant comment le secouriste doit intervenir lors d’une demande de premiers soins; 
  • assurer le transport du travailleur blessé.  
URGENCES, DANGERS ET MALADIES TRANSMISSIBLES 

Le plan d’intervention d’urgence fait partie intégrante du Code de pratique et du Programme de SST d’un lieu de travail. Dans les Territoires du Nord-Ouest, le Code de pratique est obligatoire pour tous les lieux de travail comptant 20 travailleurs ou plus.  

Les situations d’urgence produiront des dangers inconnus pour lesquels aucune mesure de contrôle n’a été mise en place. Ces risques peuvent accroître considérablement le danger lors d’une situation d’urgence pour les travailleurs, l’organisation et l’équipement, entre autres. La seule méthode efficace pour réduire le risque lors d’une situation d’urgence est de planifier qu’une urgence surviendra et s’y préparer de façon appropriée.  

Le plan d’intervention d’urgence doit être adapté au lieu de travail, c’est-à-dire qu’un plan conçu pour un bureau ne devrait pas être appliqué à un chantier.

Pour plus de détails sur les exigences applicables à votre plan d’intervention d’urgence, veuillez consulter la page 30 du Code de pratique sur les programmes de santé et de sécurité au travail des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut.  

Les membres de la FCEI trouveront un guide de préparation aux situations d’urgence dans le Portail des membres

Notre site Web présente des renseignements sur les mesures de protection contre les inondations et les avantages d’une politique sur les intempéries

Il est également recommandé d’avoir un plan de protection contre les maladies transmissibles.

Votre plan de prévention des maladies transmissibles devrait comprendre (sans s’y limiter) :

  • un processus pour le suivi et l’examen de l’information transmise par les autorités médicales régionales ou provinciales;
  • des politiques encadrant la présence au travail du personnel présentant des symptômes de maladie transmissible;
  • des politiques, des affiches et des procédures relatives au lavage des mains et à l’étiquette respiratoire;
  • le calendrier de nettoyage, les responsables et leur formation adéquate;
  • la méthode de communication des politiques sur le lieu de travail;
  • les renseignements sur les mécanismes de signalement des préoccupations en matière de SST, sur la participation des représentants en SST ou du CMSS, et sur le suivi de l’efficacité des politiques.

Les membres de la FCEI trouveront un modèle de plan de prévention des maladies transmissibles dans le Portail des membres

SGH et SIMDUT 

Le Système d’information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT) et le Système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH) sont des systèmes d’information sur les matières dangereuses utilisés mondialement. Les employés doivent savoir comment travailler en toute sécurité, mais cela ne signifie pas nécessairement que vous ayez à mettre en œuvre des programmes de formation coûteux.

Vous pouvez également trouver des informations sur notre site Web et sur le site du Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail.  

RETOUR AU TRAVAIL  

Le retour au travail est un processus standardisé applicable lorsqu’un employé blessé est prêt à réintégrer le milieu de travail. Le retour au travail est une étape essentielle du processus de rétablissement. Il peut également contribuer à réduire les conséquences d’une demande d’indemnisation sur votre entreprise, si la blessure a été subie au travail. 

La meilleure pratique consiste à mettre en place une politique de retour au travail qui énonce clairement les droits et les responsabilités de l’employeur et de l’employé en cas d’accident. 

Vous pouvez lire notre article, Retour au travail : ne laissez rien au dépourvu, et consulter le site Web de la CSTIT, qui propose également des renseignements et des ressources.